jeudi 14 février 2008

trace de la danse


Les années précédentes, j'ai travaillé en histoire puis en ethnologie sur les questions de mémoire et de danse.
Dans un premier temps, j'ai envisagé la mémoire de la danse contemporaine du point de vue de la patrimonialisation : comment faire en sorte que la mémoire de la danse se constitue dans le respect de ses spécificités, le caractère volatil notamment? Si la danse est envisagée comme un art de l'éphémère, avare de ses traces, elle est pourtant aussi capable de trouver des supports pour conserver et diffuser des souvenirs.

Vestige/vertige
Les chorégraphes reconnus, avec l'envie de faire passer leur répertoire aux générations futures et de s'assurer une postérité, se sont toujours penchés sur la "mise en mémoire" de la danse. Ce sont notamment Françoise et Dominique Dupuy, piliers de la danse moderne. Leur site basé à Arles, est un centre d'études et de recherches en danse contemporaine. Récemment, il a invité des chorégraphes, des chercheurs et des institutionnels à venir réfléchir (et agir par le biais d'ateliers) pour trouver des actions de répertoire, de recréation.

1 commentaire:

Elpapillon a dit…

une ouverture haute en couleur (!) pour une trace de plus sur les cris des corps...